Voici le récit de notre derniere opération. Voilà l'histoire telle que l'a vue zOrg! si vous voulez rajouter vos propres impressions ... n'hesitez pas !
"Pour cette mission, plusieurs compagnies mobiles s'etaient affairées a trouver un passage sûr pour leurs cavaliers,deux soigneurs, et deux canons.
Et ils l'avaient trouvé!
Un passage par des forêts a flan de montagne permettant à tout ce monde de rester camouflés durant tout le trajet!
Un premier groupe partit en reconnaissance et réussit a survivre malgré quelques bataillons menaçants alentours!
Il resterent infiltrés pendant des mois, attendant les ordres de leurs supérieurs ...
Ils savaient qu'ils allaient taper fort, car une certaine frénésie habitait les coeurs de tous ceux qui n'étaient pas encore partis
Et enfin, l'ordre fut donné de se regrouper a proximité d'une gare confédérée
Le groupe Nelly Olson qui était infiltré depuis plusieurs mois n'en revenait pas: des dizaines et des dizaines cavaliers, chacun avait la rage dans le coeur et n'attendait qu'une seule chose: que le combat commence.
Ils attendirent quelques jours que tout le monde soit vraiment là et donna l'ordre de se préparer a l'assault, pour que les quelques retardataires rejoignent le groupe. Les esprits s'echauffaient, chacun se plaignait: ceux du groupe Nelly se plaignaient d'avoir attendu pendant 2 mois les ordres et ils ne voyaient pas pourquoi les autres leur en voulaient pour les avoir attendus une petite semaine. Mais ils savaient qu'ils auraient a combattre ensembles et que ces petites discordes seraient vite mises de côté.
Chaque soldat affûtait son sabre, decrassait le canon de leur pistolet, retenant tant bien que mal toute cet frénésie pour qu'elle éclate au momment propice.
Malheuresement, ils furent repérés a cause de leur manque de patience, et les sudistes se precipiterent a la gare, mettant en place une ceinture défensive pour contrer notre assault.
Nos chefs précipitèrent l'attaque car le temps pressait et tous se ruerent sur ce petit nombre de tuniques grises qui osaient se dresser devant leur nombre.
Le tambourin sonna la charge et nos artilleries firent des ravages dans les lignes ennemies.
Mais les trains fonctionnaient toujours et bientot, des canons ennemis arriverent avec des renforts.
A ce momment la, notre groupe subit de gros dégats et plusieurs soldats tombèrent, avant que nos chefs décident de sonner la retraite qui ne fut jamais sonnée mais criée car comme beaucoup d'autres, le tambourin était tombé... "